Dé-mots en classe

La première qualité pédagogique de Dé-mots est de donner l’envie d’écrire aux élèves.

La seconde qualité est de les confronter à leurs écrits; ce sont eux leur premier “relecteur” car ils doivent lire leur texte à voix haute pour les autres.

Il est assez fréquent que des élèves réalisent que leurs textes ne sont pas lisibles (manque de mots, phrases bancales, aucun usage de la ponctuation etc); petit à petit, quand ils pratiquent régulièrement, on constate des progrès.


Depuis sa création de plus en plus d’enseignants, ainsi que des graphothérapeutes, orthophonistes et psychologues l’intègrent dans leurs pratique.

Les témoignages indiquent que le jeu est pratiqué à partir du CE2 jusqu’au lycée.


En classe, les pratiques les plus courantes sont les parties hebdomadaires ou le rituel quotidien.

Certains enseignants vont au-delà : apport de consignes complémentaires pour créer des textes longs, utilisation dans le cadre de l’enseignement de langues étrangères etc.


La lecture des bulletins officiels sur les enseignements en cycles 3 et 4 montre que Dé-mots permet de travailler des points cruciaux des programmes, comme la maîtrise de la langue française écrite et orale, la créativité, et, en terme de comportement, le respect des autres et la confiance en soi.



Parmi les nombreux témoignages reçus, voici ceux de :

👉  Danila, enseignante en CE2

« On a récemment adopté ce jeu dans la classe sous forme d’atelier. Ils ont adoré et moi aussi. L’écriture sans jugement de façon très ludique où l’imagination joue une place importante, quoi de mieux pour faire écrire des auteurs en herbe ? Je recommande fortement en classe mais aussi ailleurs entre amis, en famille. J’en parle tout autour de moi et certains collègues trouvent également ce jeu très intéressant. »

 

👉  Alexandre, professeur de français en collège 

“ La plupart de mes élèves ont énormément de mal à se mettre à écrire, et surtout accordent très peu d’intérêt à ce qu’ils écrivent. Ils pensent que ça ne peut pas être intéressant.  Quand j’ai commencé à utiliser Dé-mots, ils se sont réveillés. Il y avait de l’intérêt : écrire des histoires loufoques, faire rire les autres. Depuis je constate des progrès dans leurs exercices plus scolaires.” 

 

👉  Nelly, 10 ans

“J’aime bien écrire des histoires avec Dé-mots, mais ce que je préfère c’est écouter les histoires des autres. Avec ma classe ,on a eu beaucoup de chance : madame Lebouteux, qui a inventé le jeu, est venue jouer avec nous!”

 

👉  Habib, lycéen,16 ans :

“Au début je me suis dit “c’est nul, c’est pas un jeu, il faut écrire”, et puis j’ai quand même essayé, je n’avais pas le choix. Et c’est GÉNIAL. Les temps sont très courts, j’ai toujours envie d’écrire plus longtemps. Du coup, je me suis mis à écrire des textes et je suis allé découvrir l’atelier SLAM du lycée.”


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➡️ Télécharger les règles du jeu

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